Steinunn Sigurdardottir est attirée par les doubles et de s’engouffrer dans la doublure de ses personnages pour en faire des âmes sœurs, des frères de sang, de larmes et de regain.
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L'Humanité, Virginie Gatti
Les thèmes sont particulièrement tragiques mais la romancière les allège de leur charge de pathos en exaltant, avec une curieuse fantaisie, la vitalité des amours et des amitiés guérisseuses, la force cicatrisante des fraternités de douleur.
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Livres Hebdo, Véronique Rossignol
Le récit est joliment hélicoïdal, le médecin s’effondrant tandis qu’il fouille dans sa mémoire, et retrace l’histoire récente de ses attachements les plus précieux.
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Libération Supplément Livres, Claire Devarrieux
Tout le charme de ce livre réside dans son style : dépouillé, noir, désespéré…et si drôle !
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Biba, Monique Ayoun
Yo-yo est le récit d’une amitié entre hommes comme on en a rarement lu. Un lien indéfectible et bouleversant qui les sauvera du pire.
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Version Femina, Laurence Caracalla
Le drame sous la vie. De l’amitié, de l’amour, un zest d’amertume : un roman européen ouvert et généreux. Au fond coulent de noirs souvenirs.
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Centre France, Daniel Martin
Articulé par une mécanique littéraire grinçante de haute précision, ce roman lumineux sauve de l’horreur, l’espérance d’une résilience. Après une folle journée.
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DNA, Veneranda Paladino
Cent soixante pages à l’écriture minimaliste expriment l’indicible et évoquent le destin fracassé et bouleversant de deux victimes : le narrateur et son double en amitiés.
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Notes bibliographiques,
L’auteur islandais Steinunn Sigurdardottir signe un roman déchirant.
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Le Parisien Magazine, T.D.K
Ce livre doux-amer nous apprend que même les plus lourds secrets peuvent trouver leur confident.
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Paris Berlin, Sophia Andreotti