Arnaud Guillon n’a cessé de prouver qu’il est maître dans l’art du feutré, de la demi-teinte. Derrière la petite musique se cache le drame. Qui vient projeter les protagonistes et les lecteurs de Tableau de chasse dans une tout autre réalité.
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Livres Hebdo, Alexandre Fillon
Une histoire de couples magistralement mise en scène et servie par un style d’une élégance classique impeccable.
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Le Parisien, François Vey
D’une écriture précise et délicatement nostalgique, l’auteur signe une élégante variation sur un thème rebattu.
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La Gazette Nord Pas de Calais, Patrick Beaumont
On succombe.
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Sud-Ouest, Isabelle de Montvert-Chaussy
Son auteur a le sens de l’attente, de l’entre-deux, de l’atmosphère et du détail lequel, s’il ne tue pas tout de suite, finit par faire bien des ravages. Une incontestable réussite romanesque.
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Le Parisien, Pierre Vavasseur
Si l’on apprécie de respirer dans un livre, et la caresse d’une prose contenue, on sera comblé comme on peut l’être dans l’écriture de Patrick Modiano.
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Le Figaro Littéraire, Alice Ferney
Sur un argument classique, l’auteur passe avec virtuosité du rose pâle au noir intense.
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Télé 2 semaines, C.V
Amours interdits, secrets de famille, suspense et dénouement inattendu : rien ne manque à ce bon roman dont vous ne ferez qu’une bouchée.
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Femme Actuelle, Amélie Cordonnier
Avec l’élégance qui caractérise sa plume depuis ses premiers livres, dans une montée en puissance subtile, Guillon fait tomber le masque de ses personnages, décortiquant les liens et secrets qui les unissent avec une cruauté aussi raffinée qu’implacable.
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Point de Vue, J.L.N
Dans cette histoire romanesque qui vire presque au polar, l’écriture classique d’Arnaud Guillon (prix Roger-Nimier pour Écume Palace) fait merveille. L’auteur a un tel sens du détail qu’il dépeint
une atmosphère digne d’un film de Claude Sautet (les Choses de la vie et Vincent, François, Paul et les
autres ) ou de Claude Chabrol (la Fleur du mal). Nul ne s’en plaindra, Arnaud Guillon vise juste.
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Version femina, Anne Michelet
Amours interdites, secrets de famille, suspense et dénouement inattendu: rien ne manque à ce très bon roman.
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Femme Actuelle, Anaïs Clavell
Ambiance mi-Chabrol mi-Sautet qui donne à ce récit une saveur particulière.
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Télé 7 jours, A.S
À couper le souffle.
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Paris Match, Gilles-Martin Chauffier
D’une écriture délicieuse et ouatée, Arnaud Guillon nous berne. […] Sous la douceur, la noirceur. Plus l’histoire avance, plus les masques tombent Avec un dénouement cruel et abrupt, qui en cueillera plus d’un.
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ELLE, Nathalie Dupuis
Tromperies et vengeances se succèdent Au final, il est bien difficile de savoir
qui est le chasseur et qui le gibier.
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La Tribune du réseau presse, , 01 juillet 2015