Le point fort de ce roman, c’est au final une magnifique réflexion sur le « métier » d’écrivain, aujourd’hui. Réflexion placée dans un roman qui tend parfois vers le polar, fait un clin d’œil aux page turner américains (pleins de dialogues), un roman souvent drôle (…), touche-à-tout, plein de rebondissements et pour le moins picaresque.
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http://bit.ly/1TaHdKF, manoeuvres.hautetfort.com , 25 avril 2016
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Ni un témoignage, bien qu’écrit à la première personne du singulier, ni un brulot sur le monde de l’édition, bien que l’image ici ne soit pas très reluisante, ce roman se lit tout seul, tant on veut savoir ce qui va arriver au héros. Cette chronique est aussi pleine d’humour, de bonnes réflexions sur le livre numérique et de cynisme.
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http://bit.ly/25geBrL, Mathieu/le-carrefour-culturel.fr , 24 mai 2016
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Basile Panurgias, égratigne, ridiculise et tourne à la dérision cette criante et illusoire armée des bobos, qui anime avec frénésie et grotesque le monde des arts et de la culture, faune comique et futile des vernissages et autres signatures. Il dénonce avec véhémence la contradiction entre la création et l’argent, les subtilités de l’édition, usant de succulentes métaphores et de références littéraires « très subtiles ». (…) Un livre à emporter dans son sac de vacances et à faire partager aux amis.
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http://bit.ly/25IfnkW, Félix Brun / lagrandeparade.fr , 01 juin 2016
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Ce roman qui souligne que l’amour peut se révéler un fort mauvais mécène se lit d’une traite. La vision caricaturale du milieu germanopratin de l’édition n’enlève rien au plaisir que l’on a à accompagner le narrateur dans ses (més)aventures et à découvrir que les autres, souvent, se jouent de lui. Un rien grinçant, Perdre le nord s’avère être un divertissement fort rafraîchissant.
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http://bit.ly/29h2eXv, Sophie Adriansen , 04 juillet 2016
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