Grunberg, dont c’est sans doute l’une des œuvres les plus accomplies et les plus ambitieuses, compose un requiem tordu, d’une noire ironie pour une innocence fracassée.
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Livres Hebdo, Olivier Mony
Avec L’Homme sans maladie, le romancier néerlandais plonge son héros dans l’enfer moyen-oriental. Cauchemar réussi.
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Libération, Philippe Lançon
Un brillant attentat terroriste contre les bons sentiments.
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Grazia, Marguerite Baux
Cinquante nuances de noir pour un petit bijou d’humour et d’angoisse où l’auteur multiplie les fausses pistes et distille l’absurde comme un venin qui empoisonne bientôt jusqu’au coeur du récit.
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Le Point, Éric Naulleau
Arnon Grunberg a plus d’un tour dans son sac. II emploie un ton paisible pour décrire les pires horreurs. Les
dialogues entre son personnage et ses kidnappeurs sont des bijoux d’incompréhension. […] Le roman est drôle et grinçant, comme une craie sur un tableau noir.
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Le Figaro Littéraire, Éric Neuhoff
Étrange mélange entre la fable kafkaïenne et I’humour abrasif d’un Sacha Baron Cohen (Borat). L’Homme sans
maladie brosse le portrait vachard d’un individu dépasse par le monde qui l’entoure, métaphore a peine voilée d’un Occident peinant a s’adapter à un autre univers.
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Lire, Baptiste Liger
Parvenir à nous faire glousser sur un sujet aussi casse-gueule est un exploit. Page 23, Grunberg écrit que « l’art ne mord pas ». Son roman cocasse et violent prouve l’inverse : quand il est aussi bien fait, l’art peut vous mordre jusqu’au sang.
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Le Figaro magazine, Frédéric Beigbeder
Arnon Grunberg est un styliste capable de varier les nuances de noir mais animé par des obsessions très sûres…
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Le Magazine Littéraire, Alexis Brocas
Faire rire avec la guerre, la torture, l’intégrisme ? C’est l’exploit pervers et très délicat accompli par Arnon Grunberg […] Une farce fascinante et épouvantable sur l’idéalisme, ultime maladie du monde occidental – celle qui nous perdra ?
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ELLE, Marguerite Baux
Virtuose conte cruel sur les illusions occidentales et sur la crédulité (de son héros comme de son lecteur), L’Homme sans maladie constitue une formidable porte d’entrée dans l’oeuvre d’Arnon Grunberg, écrivain parmi les plus passionnants de sa génération.
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Le Monde, Raphaëlle Leyris
Un chef-d’oeuvre d’humour noir qui évoque le style des frères Coen, avec un zeste de Nouveau Roman.
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L'Obs, Didier Jacob