Les Captives de la vallée de Zion vous transportent dans l’Amérique de l’immensité et de la liberté. Il y a quelque chose d’envoûtant à suivre ce shérif pas comme les autres.
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La Dépêche du midi, Sébastien Dubos , 02 avril 2017
Ce roman ne manque ni de réalisme, ni d’une gouaille de bon aloi.
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Télé Z, , 01 mai 2017
Un shérif grincheux, une Calamity Jane comme adjointe, des Indiens futés, des coups de Winchester et les montagnes sauvages de l’Utah pour décor : un western, donc. Documenté à mort, de la guerre de Sécession aux chemins de fer, badigeonné de chouettes couleurs locales, whisky et crotales à gogo.
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L’Express, Sandra Benedetti , 03 mai 2017
Souffle des grands espaces, réalisme impitoyable et happy end sentimental : la touche de Norman Ginzberg fait mouche.
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Nice Matin, , 28 mai 2017
Un roman épique écrit avec un percutant réalisme et une rare justesse de ton de ses savoureux dialogues.
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Lion Magazine, , 31 mai 2017
Une plongée dépaysante dans le Far West, un livre drôle et décalé, parodie de western avec des personnages ultramodernes.
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Télé 7 jours, Éva Roque , 03 juin 2017
Norman Ginzberg écrit avec style un pur western, addictif et régalant.
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La Voix du Nord, , 18 juin 2017
Mêlant à son verbe cru et drôle une poésie inattendue, Norman Ginzberg écrit avec style un pur Western, addictif et régalant.
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Nord Éclair, , 18 juin 2017
On goûte au western ! Le charme ébouriffant des romans de Ginzberg : le Franco-Américain nous entraîne dans une cavalcade avec chevaux fous, truands, cow-boys, Indiens. Tout ce monde-là est dépité par l’arrivée d’une femme pour seconder le shérif dans sa grande chasse aux Mormons polygames, dans l’Utah. D’autant que celle-ci n’a pas froid aux yeux et sait s’imposer. Il y a un vrai souffle, les paysages sont grandioses et les personnages très attachants.
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Sud Ouest, , 25 juin 2017
Une page de l’histoire américaine, d’un réalisme sidérant, saisie avec une gouaille unique. Un régal. À lire absolument.
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Mémoire des arts, Paule Martigny , 01 août 2017