Ample roman d’apprentissage, Courrier des tranchées est à la fois prenant et subtil. […] Stefan Brijs est un conteur de haute volée capable de vous tenir en haleine et de vous surprendre encore à la fin du voyage.
–
Livres Hebdo, Alexandre Fillon , 03 juillet 2015
Brijs et les mensonges de la guerre. Une vibration continue.
–
Le Soir, Pierre Maury , 29 août 2015
Les romans sur la Première Guerre mondiale ne manquent pas. Celui de Stefan Brijs est l’un des plus touchants et des plus originaux de récente mémoire (…) Une fiction entêtante et subtile.
–
Les Échos - Supplément WE, Alexandre Fillon , 11 septembre 2015
On est frappé par la finesse du toucher de Stefan Brijs, sa manière élégante de nous glisser au plus près d’un héros sujet au doute et aux prises avec le mensonge.
–
Lire, Alexandre Fillon , 01 octobre 2015
Une plongée romanesque dans la Grande Guerre côté britannique mais aussi et surtout « un roman sur le mensonge dont les personnages sont des anti-héros ».
–
La Voix du Nord, Jean-Marie Duhamel , 05 octobre 2015
Parce que ses romans font la part belle à l’humanité, le Néerlandais Stefan Brijs travaille avec lenteur, multiplie les détails, rajoute toujours une touche à ses personnages pour en préciser la nature profonde. Ce qui donne à ses livres une certaine épaisseur.
–
Centre France, Daniel Martin , 01 novembre 2015
Dans ce livre aussi romanesque qu’extrêmement documenté, Stefan Brijs explore la fascinante dualité du mensonge en tant de guerre : une arme – la propagande est une fabrique à soldats –, une consolation et même un refuge pour John Patterson, celui qui refusait de se battre.
–
Le Figaro Littéraire, Astrid Eliard , 10 décembre 2015
Courrier des tranchées figure désormais sur la liste des romans impressionnants sur la Grande Guerre (…). Le rythme maîtrisé de l’écriture, d’ailleurs très bien rendu dans la traduction française, la perspective unique et la division en deux parties miroirs sont les piliers de cette narration.
–
Septentrion, Dorien Konijzer , 01 décembre 2015