« Boomerang » possède tous les ingrédients du best-seller : un thriller psycho où l’émotion flirte avec le suspense. (…) Ce boomerang romantico-comique fera le tour de la planète !
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Marie Claire, Emmanuelle de Boysson
Un mélange de roman d’amour, de suspense et de drame psychologique, et un goût pour les histoires de famille où les héros sont pris dans la tourmente des événements ou des sentiments.
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ELLE, Isabelle Lortholary
Un roman qui se lit d’une traite tant Tatiana de Rosnay a le sens de la narration et du suspense même si le thriller s’accompagne toujours chez l’auteur de profondeur psychologique.
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Le Monde des Livres, Émilie Grangeray
Secrets de famille, mort omniprésente et course à la vérité, les thèmes fétiches de Tatiana de Rosnay sont bien là.
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Le Point, Julie Malaure
L’auteur du poignant « Elle s’appelait Sarah » nous offre son premier roman d’amour. Intense, forcément.
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Télé 7 jours, France Cavalié
Vous aimez les histoires de famille encombrées d’un terrible secret ? Tatiana de Rosnay aussi, c’est même sa marque de fabrique. Vous appréciez le suspense psychologique et les rebondissements en cascade ? Vous serez servie !
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Femmes d’aujourd’hui, Myriam Berghe
Tatiana de Rosnay publie son nouveau roman « Boomerang » où l’on suit, sur fond de secrets de famille enfin dévoilés, les aventures de Mélanie, d’Antoine, son frère, et d’une femme aussi insaisissable qu’attachante… La déjà culte Angèle Rouvatier.
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Questions de femmes, Laurent Fialaix
Comme dans son précédent roman, le best-seller « Elle s’appelait Sarah », l’auteur franco-anglaise Tatiana de Rosnay sait jouer finement de la nostalgie presque universelle du passé pour entraîner le lecteur dans cette histoire de famille aux personnages attachants.
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La voix du Nord, I.E.
Avec « Boomerang », Tatiana de Rosnay esquisse une surprenante galerie de portraits. Les personnages sont tour à tour émouvants, exaspérants, fantomatiques. Aidé par Angèle Rouvatier, embaumeuse et motarde rencontrée au chevet de sa cadette, Antoine part à la conquête de sa mère, de ses enfants, de son propre rôle de père, de dignité d’homme. Cette belle brune s’illustre à la fois comme le piment de la narration et comme l’élément apaisant du roman.
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La Tribune de la Vente, Marie Hallumeyer
Servi par une plume allègre, un sens du dialogue affirmé et une finesse psychologique malicieuse, « Boomerang » doit beaucoup à l’un de ses personnages secondaires, Angèle Rouvatier, embaumeuse qui transforme Antoine, héros un peu loser, en vrai mec.
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20 minutes, Karine Papillaud
Après le succès de « Elle s’appelait Sarah », Tatiana de Rosnay publie un petit bijou de psychologie.(…) Un mélange d’humour et d’implacables vérités, de portraits énergétiquement dessinés et d’une fine observation de la planète famille.
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Télé 2 semaines, Christophe Victor